Le plastique est largement utilisé par les professionnels de la pêche et de la conchyliculture pour exercer leurs activités. Utile et pratique pour la profession, il peut devenir problématique quand il devient un déchet marin et sa présence dans l’océan peut être dommageable pour les organismes marins. Pour répondre à cette problématique, Amélie HEGRON, étudiante à l’Université de Rennes 1, effectue un stage d’un mois au SMEL. Elle va utiliser la larve d’oursin comme bioindicateur pour mesurer la qualité de l’eau de mer en présence de différents plastiques issus de la pêche et de la conchyliculture (poches, filets, cordages, alèzes de chalut…etc).
SMEL
Agir pour l'économie maritime en Normandie